FAQ

QUESTIONS DIVERSES

Le métier de Conseil en Gestion de Patrimoine (CGP) consiste à assister, conseiller et guider celles et ceux, particuliers comme entreprises, qui désirent un conseil personnalisé sur l’organisation de leur patrimoine et les investissements qu’ils souhaitent réaliser.
Spécialistes du patrimoine, les CGP offrent un service à haute valeur ajoutée, permettant l’optimisation du patrimoine de leurs clients.
Ne dépendant d’aucun réseau, banque ou compagnie d’assurance, les CGP ont la liberté de proposer, en toute objectivité et toute indépendance, les solutions les plus adéquates.

L’assurance-vie dispose de nombreux atouts clés, qui en font l’attrait.
Tout d’abord, il existe une importante flexibilité dans la rédaction des clauses bénéficiaires. En effet, il est possible de rédiger une clause sur-mesure, avec divers bénéficiaires, mais aussi un démembrement de la clause, ou encore une clause à option.
Également, le contrat d’assurance-vie répond à une disponibilité de l’épargne, à tout moment. Il permet donc de procéder à des rachats sans contrainte de blocage des primes versées.
De plus, ce contrat peut bénéficier d’un large panel d’unités de compte, permettant ainsi une diversification de votre épargne.
Enfin, la transmission des capitaux en cas de décès, se réalise dans un cadre fiscal extrêmement avantageux pour ses bénéficiaires, grâce aux articles 990 I et 757 B du Code Général des Impôts.
Le nouveau Plan Epargne Retraite (PER) est en vigueur depuis le 1er octobre 2019. Le PER individuel, l’un des deux PER créés par la loi Pacte, remplace les produits existants à savoir le Plan Epargne Retraite Populaire (PERP), la retraite Madelin et le Préfon.
Le PER, est, comme son nom l’indique, un investissement à long terme permettant à un épargnant de se constituer un supplément de revenu pour sa retraite. En contrepartie d’un capital bloqué jusqu’au passage à la retraite, le PER offre à ses détenteurs un avantage fiscal certain leur permettant de réaliser des économies d’impôts conséquentes.
Le nouveau PER permet également, dans certains cas, de récupérer son argent avant l’âge légal. Ce sont des cas dits de sortie anticipée, comme l’acquisition de sa résidence principale par exemple.

Le démembrement de propriété est une technique juridique consistant à dissocier sur un bien la nue-propriété et l’usufruit. A la différence de l’indivision, ces deux droits ne s’exercent pas simultanément, mais distinctement et indépendamment.
Le nu-propriétaire est titulaire d’un droit réel, qu’il peut par conséquent céder ou transmettre. A l’inverse, l’usufruitier peut utiliser librement le bien objet du démembrement, en percevoir les revenus, et peut aussi céder ou transmettre librement son droit.
L’usufruit est un droit réel temporaire, et à son extinction, il y a reconstitution automatique de la pleine propriété sur la tête des nus-propriétaires.

Il existe des investissements qui permettent de réduire votre base imposable, et de bénéficier d’une réduction d’impôts, et d’autres investissements qui vous permettent de déduire un montant de votre impôt à payer, donc de bénéficier d’une déduction d’impôts, devenue un crédit d’impôts depuis la mise en place du Prélèvement A la Source (PAS).
Le Plan Epargne Retraite, par des versements volontaires réalisés sur ce contrat, permet de venir les déduire de son revenu net imposable, dans la limite d’un plafond défini. Il est également possible de réaliser des investissements immobiliers, comme le Monument Historique, le Malraux et de bénéficier d’avantages fiscaux.
Enfin, il est possible d’investir dans les DROM-COM et de bénéficier du dispositif du Girardin Industriel. Ce dernier vous offre alors un crédit d’impôt.
L’ISR, dont le développement s’est accéléré cette dernière décennie, a subi de nombreuses évolutions qui expliquent aujourd’hui l’hétérogénéité de ce marché.
Les premiers fonds ISR étaient développés autour de considérations éthiques reposant sur l’exclusion de secteurs controversés (armement, tabac, pornographie, alcool etc) contraires à certaines valeurs morales. L’ISR s’est ensuite intéressé à la gestion des risques Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) afin de limiter la survenance d’incidents ou de grands scandales, pour finalement s’orienter vers la recherche d’impacts environnementaux et sociaux positifs.
Aujourd’hui, les fonds s’ouvrent aux thématiques propres à la responsabilité d’entreprise et au développement durable en excluant des secteurs comme les énergies fossiles, le nucléaire ou des entreprises en contradiction avec les principes de responsabilité.
L’intégration ESG prend en compte des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance dans l’analyse financière des entreprises sans aucune contrainte sur l’univers d’investissement et la gestion. Les informations ESG recueillies constituent un complément d’information pour construire le cas d’investissement.
A l’inverse, l’ISR désigne une stratégie de gestion qui utilise les critères ESG – et généralement, la notation ESG – pour construire l’univers d’investissement et qui exclut certains secteurs ou entreprises du fait de mauvaises pratiques ESG.
Une stratégie ISR intègre forcément des critères ESG, mais l’intégration de critères ESG ne signifie pas pour autant qu’un fonds soit « ISR ».